tag:blogger.com,1999:blog-5548111752926125229.post840402240280943169..comments2024-03-11T11:39:26.868+01:00Comments on Le cri du bigorneau: Les plateauxGregory Lopezhttp://www.blogger.com/profile/18032002453302002792noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-5548111752926125229.post-39585384156275945792008-01-06T17:00:00.000+01:002008-01-06T17:00:00.000+01:00Sauf qu'au Plat Pays, on n'a pas que pluie et gris...Sauf qu'au Plat Pays, on n'a pas que pluie et grisaille incessante... mais chuuuuuut... c'est encore un secret bien gardé...Sqbinehttps://www.blogger.com/profile/10350794528452348472noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5548111752926125229.post-8120116717558210982008-01-04T13:50:00.000+01:002008-01-04T13:50:00.000+01:00ha je comprend, comme quoi les souvenirs d'enfance...ha je comprend, comme quoi les souvenirs d'enfance ça marque. Pour moi c'est plus tôt ce genre d'images : <BR/>http://www.flickr.com/photos/nature-art/767169998/in/pool-55378384@N00PLUMehttps://www.blogger.com/profile/02581288088393907845noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5548111752926125229.post-44417722879035226832008-01-04T11:50:00.000+01:002008-01-04T11:50:00.000+01:00Ouais, mais perso, j'aime pas trop en fait. Parce ...Ouais, mais perso, j'aime pas trop en fait. Parce que ça m'évoque pas trop la chaleur du mois d'aout mais la pluie et la grisaille incessante, un peu comme le plat pays de Brel.Gregory Lopezhttps://www.blogger.com/profile/18032002453302002792noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5548111752926125229.post-24935244142221342272008-01-04T09:58:00.000+01:002008-01-04T09:58:00.000+01:00Un peu comme la champagne Berrichonne où j'ai gran...Un peu comme la champagne Berrichonne où j'ai grandit. Les gens que je connais et qui ne sont pas du coin trouvent ça mortel (surtout en voiture). Mais pour moi c'est vital d'y revenir. Les champs de Blé (ceux de mon père) sous la brise d'été, la terre labourée floutée au loin par la chaleur accablante du mois d'août, la sensation de pouvoir respirer en regardant l'horizon quand votre oeil n'est arrêté par aucun obstacle. On s'habitue au paysage bouché des villes et des montagnes et on fini par les aimer certes, mais le sentiment de liberté procuré par ces grandes plaines agricoles est incomparable. Et comme tu dis, pas de touristes.Anonymousnoreply@blogger.com